Les ombrages du blizzard

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La tempête s’intensifiait, hurlant autour de la cabane comme par exemple une créature enragée. Les murs de but craquaient par-dessous la pression du vent, et la lumière vacillante de la lampe à huile projetait des obscurcissements distordues sur les murs. Pourtant, rien de tout cela n’inquiétait l’explorateur tant que les signes qui continuaient d’apparaître sur les pages technique du carnet. La voyance qu’il lisait ne relevait pas d’une simple prédiction, elle écrivait l'avenir au même pressant où il le vivait. Les formes néfastes dansaient sur le carton, s’inscrivant avec une fluidité irréelle. « Ne les regarde pas. Ils viennent incomparablement avec le vent. » Son humeur se suspendit. Qui étaient-ils ? Ce carnet était-il une relique d’un autre générations, et pourquoi pas une porte versification une portée bien plus encore ancestrale ? La voyance en privé, habituellement confiée à du médium dans des salons tamisés, prenait ici une dimension plus tangible, plus oppressante. Il tourna lentement la mine technique du visage versification la fenêtre, où la neige s’accumulait en épais tourbillons. Au-delà technique du cristal givré, des éléments bougeait. Des silhouette indistinctes, floues, se mouvaient dans la brume blanche, à la frontière du visible. Il cligna des yeux, mais elles restaient là, avançant sans bruit, comme des obscurités nées du blizzard. Chaque bourrasque les rapprochait, tout dieu de vent les rendait plus vraies. La voyance privée lui donnait un aperçu de ce qu’il n’aurait jamais dû compter. De innovantes répliques s’inscrivirent dans le carnet avec une urgence grandissante. « Ne bouge pas. Ne parle pas. Laisse-les abandonner. » Il désirait écarter le regard, mais son instinct de survie lui criait de comprendre ce qui se trouvait dehors. Les silhouettes grandissaient, leur présence pesant dans l’air comme par exemple une menace silencieuse. Les battements de son cœur résonnaient à proximité de ses tempes. Était-il déjà beaucoup tard ? La voyance par téléphone en privé était le pont simple entre les informations intangibles, mais ici, zéro transport ne le séparait de ce qui s’approchait. Le vent souffla plus substantiel, et la cabane trembla sous l’impact. Puis, dans un évènement figé hors de l'avenir, les silhouettes disparurent. Le carnet cessa d’écrire. Il ne savait pas s’il venait d’être épargné ou si le pire était encore prochaine.

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